Jour 98 de la grande canicule.
Prochaine chronique, de plus en plus prêt de la dernière.
Mardi 19 septembre, 48 celcius, 2 heures du mat.
Des rues désertées et désertiques. Les quelques rares passant arrivent tout juste a ramper de mur à mur. À tout les jours, plus de mort. Mêmes les mouches tombe comme des mouches.
A l'échelle planétaire c'est le chaos. Les services de santé publique, impuisant devant l'ampleur de l'événement, ont depuis longtemps baisser les bras. Les morts, ont ne les compte plus, ont les dénombres. Les hopitaux désertés, servent d'immenses morgues ont sont entassé les cadavres, pour être ensuite brulés dans les fours. Les barrages hydro-électrique sont à sec, privant des pays entier d'électricité. Plusieurs réserves d'eau potable sont comtaminées augmentant l'indice épidémique. L'O.M.S. espérait que le mois de septembre apporterait une baisse des températures mais, il n'en n'est rien. Depuis le début de juin que le thermomètre ne cesse de grimper. Parfois se stabilisant pendant quelques jours, puis repartant à la hausse, comme si il n'y avait plus de saison.
Les membres du G-8, réunit en conseil d'urgence, ont offert un budget illimité pour sauver la situation, mais tout l'argent du monde n'y changeras rien. C'est la fin tout le monde le sait, et pour bientôt.
Même les milliardaires du haut de leurs tours, savent bien que cette fois, ils ne pourront sauter leurs tours.
Protocole non signé.