D'où venait donc cette douleur
Qui me fermait tout autre accès
Liée serrée dans ses liens d'horreur
Dont ne me parvenait que l'excès.
Le souffle court, sifflant
La vie tremblante au flans
Le pouls battant le recul
L'entité se désarticule.
Quelques éclairs surgissent
Une pensée s'agite
Tendant à sortir de l'abysse
De cet antre insolite.
Et puis tout s'apaise,
Que tout se taise!
Et puis tout s'éteint,
Le miroir a perdu son tain...
Ave nocturna