Sur toi je déferle ma hargne et jamais je ne t'épargne. Mais chaque fois que je te regarde impatiente et froide, je me sens prisonnier, comme au bagne.Tu m'étouffes, tu m'étourdis a cause de ta jalousie.
Pourquoi me suis- je embarqué dans ce bateau? J'aurais mieux fait de rester avec mes pots au bistro à Rigaud.Au moins dans ce temps-là c'était rigolo.
Tu brimes ma liberté de penser.Tu es même jalouse des filles à la télé ou même de la fille d'à coté.
Je ne t'appartiens pas je suis désolé!Nous ne sommes pas mariés.Mais nous sommes enchaînés à cause du bébé.
Mais si tu continues à m'exaspéré et à m'empêcher de respirer tu vas le regretter.Ne pousse pas trop loin la barre! Je t'en prie rien qu'un mot de trop et je pars!
Seule tu vas te retrouver et tu auras beau sanglotter, rien n'empêchera mon départ vers la liberté!
Et jamais, jamais je ne reviendrai!
Quand la coupe débordera, quand ton venin sur moi se déversera, ce sera pour la dernière fois.
Il le faudra, avant que je te tue!