Et de tout son champs, son si doux chant vert et blanc;
Une étincelle se même a mon cerveau vivant;
Je l’ai perdu cet univers illusionnant;
De grandes herbes enchantées menant mon esprit.
Oh, pardon a nous, nous, pauvres buveurs de thé;
Oui, pardon a nous, mangeurs de cretons salés,
Oui, Pardon a nous beaux désillusionnés
De grâce, grâce, ils nous demandent pardon.
Offrez moi peu importe quoi, je suis prenant,
Le temps d’un sablier m’a trop été tentant,
Je sais qu’elle me sera, chaque soleil couchant,
Tout m’absorbe dans mes nouvelles ailes artifices.
De cet azur, ruisseau du ciel, je serai l’eau,
Je m’en caliss de tout ce restant ébranlé,
De moi et mon âme, de quand est-ce have you been there?