Sommes Nous Maître De Notre Temps.

Je fait parfois des textes absurde ou amusant
mais je peux parfois dans ma folie être lucide.


AVERTISSEMENT: IL EST VIVEMENT DÉCONSEILLÉ AUX PERSONNES
AYANT UNE PRÉDISPOTITION À LA DÉPRIME DE LIRE CE TEXTE. TOUTE
FOIS SI VOUS DÉCIDIEZ QUAND MÊME DE LE LIRE, LA DIRECTION SE
DÉGAGE DE TOUTE RESPONSABILITÉS POUVANT EN RÉSULTER.

À la question sommes nous maître de notre temps,
nous y répondrons par une simple équation.

Lundi 6h15, le réveil pour une journée de travail donc à partir de cet
instant le temps ne nous appartient plus.

17h00, le travail terminer c'est 45 minutes de route pour rentrer.
Temps consacrer par jour pour le travail, 11h00.
Les soirs de semaine au lit à 23h00 faut être frais pout le lendemain.

Total du temps libre par jour 5h00.

Résultat pour une journée.
Travail: 11h00
Libre: 5h00

Et ainsi pour le reste de la semaine.
Résultat pour une semaine.
Travail: 55h00
Libre: 25h00

Bien sur il y a les week-end.

Paresser le samedi matin debout vers les dix heures, même scénario le dimanche.
Résultat pour le week-end.
Travail:0h00
Libre: 26h00 (+/-)

Grand total pour une semaine.
Travail: 55h00
Libre: 51h00


Face à ce calcul un homme moyen vous expliquera qu'il est normal de travailler
autant si on veut un jour arrêter de travailler.

Face à ce calcul un vieillard vous répondra, "vous êtes chanceux dans mon temps
ont travallaient 100 heures par semaine.

Face à ce calcul un capitaliste du pont de son bateau, vous expliquera
comment il est important de faire rouler l'économie.

Face à ce calcul un politicien vous répondra qu'il est important de travailler
plus fort que jamais pour faire face aux nouveaux marchés de plus en
plus concurrentiel qu'apporte la mondialisation. L'ouverture des marchés
suite à l'adhésion de pays en développement offre de la main d'oeuvre
bon-marché et les dirigeants d'entreprises pourrait être tenté de fermer
leurs usines et d'y faire fabriqués leurs produits à moindre coût.






-Eh ta vu mon nouveau lecteur DVD, fabriqué en Malaisie la moitié du prix,
tu devrais en profiter toi qui en veut un depuis longtemps.

-Ouais j'aimerais bien mais ma femme risque d'être congédié alors tu sais
les dépenses avec juste un salaire...je crois bien que l'on va restez au VHS.

Je me fais parfois peur à penser que si il pouvait tout recommencer
l'homme recommencerait.

Ça fait longtemps que je trouve qu'on travaille trop! Moi ça me prend trente cinq minutes aller retour en autobus pour aller au travail. Si je finis à quatre heures je dois attendre vingt minutes que l'autobus passe donc vingt minutes donnés à mon boss car je ne suis pas pressée d'aller me faire geler. Dix minutes avant c''est parfait pour fumer ma cigarette!
Je me sens en prison au travail et j'ai hâte d'en sortir! Est-ce normal??? Pour vivre on n'a pas le choix! Et le soir fatigués tous les deux mon mari et moi n'avons pas grand-chose à nous dire. Quelle vie plate!!!
Le souper, les lunchs, et heureusement qu'il y a la télé pour se changer les idées! Surtout l'hiver! Si Je ne travailleraais pas j'aurais plus de temps pour"écrire, aller voir ma fille qui va avoir ses jumeaux, mes soeurs, aller au théatre, au resto....mais ça prend des sous...alors faut aller travailler...on ne s'en sort pas. On travaille tous les deux et on arrive juste alors..

Bon sujet![/b]

Zet pas aux trente cinq heures vous. Notre tête pensante, ceux qui tournent leurs idées vers la droite, auraient tendance à envoyer toutes nos usines en malaisie où alors, ils proposent des solutions anti-chômage, tel que l'emploie klenex( ils voulaient pouvoir virer sans motif!) et l'abolition du salaire minimum, enfin, rien de bien neuf, en effet. Les trentes cinq heures donnent des boutons aux écervelés, mais peu de monnaie au fond du panier. Ce qui est dommages. Le capitalisme, nous a mis en laisse, il nous donne juste de quoi se représenter de semaines en semaines aux portes de l'usine, où autre travail. Ainsi, ils nous ôtes l'envie d'années sabbatique que par tic j'appel année sympathique.

Bon, j'arrête là, je suis las, l'heure tourne, et les idées stagnes !